Des Périers, Bonaventure: Les Nouuelles Recreations et Joyeux deuis de feu Bonauenture Des Periers, valet de chambre de la Royne de Nauarre. Lyon : Granjon, 1558
Inhalt
PDF [1]Vorderdeckel
PDF [2]Rücken
PDF [3]Vorsatz
PDF [8]Titelblatt
PDF [10]Extraict du Priuilege Du Roy.
PDF [11]Sonnet.
PDF [12]L'Imprimeur au Lecteur, Salut.
PDF [14]Table des Nouuelles Recreations selon leur ordre.
PDF [20]Premiere Nouuelle en forme de Preambule.
PDF IIIr Des troys folz Caillette, Triboulet, et Polite.
PDF IIIIr Du Chantre, bassecontre de Sainct Hilaire de Poytiers, qui accompara les chanoines à leurs potages.
PDF VIr Du bassecontre de Reims, Chantre, Picard, et maistre es arts.
PDF VIIr Des trois Soeurs nouuelles espouses, qui respondirent chacune un bon mot à leur mary la premiere nuict de leurs nopces.
PDF IXv Du mary de Picardie qui retira sa femme de l'amour, pour une remonstrance qu'il luy fit en la presence des parens d'elle.
PDF XIv Du Normand allant à Romme qui fit prouision de latin pour porter au Sainct Pere, et comment il s'en ayda.
PDF XIIIr Du Procureur qui fit venir une ieune garse du village pour s'en seruir : et de son clerc qui la luy essaya.
PDF XVr De celuy qui acheua l'oreille de l'enfant à la femme de son voisin.
PDF XVIv De Fouquet qui fit accroire au procureur en chastellet son maistre que le bon homme estoit sourd : et au bon homme que le procureur l'estoit : et comment le Procureur se vengea de Fouquet.
PDF XVIIIr D'un docteur en decret qu'un beuf blessa si fort, qu'il ne scauoit en quelle jambe c'estoit.
PDF XIXr Comparaison des Alquemistes à la bonne femme qui portoit une potée de lait au marché.
PDF XIXv Du Roy Salomon, qui fit la pierre philosophale : Et la cause pourquoy les Alquemistes ne viennent au dessus de leurs Intentions.
PDF XXIIr De l'aduocat qui parloit latin à sa chambriere : et du clerc qui estoit le truchement.
PDF XXIIIIr Du Cardinal de Luxembourg, & de la bonne femme qui vouloit faire son filz prestre, qui n'auoit point de tesmoings : & comment ledit Cardinal se nomma Philippot.
PDF XXVv De l'enfant de Paris nouuellement marié : et de Beaufort qui trouua un subtil moyen de iouyr de sa femme, nonobstant la songneuse garde de dame Pernette.
PDF XXIXr De l'aduocat en parlement, qui fit abbatre sa barbe pour la pareille : & du disner qu'il donna à ses amys.
PDF XXXr De Cillet le menuzier, comment il se vengea du leurier qui luy venoit manger son disner.
PDF XXXIr Du sauetier Blondeau, qui ne fut onq en sa vie melancholie que deux fois : et comment il y pourueut. Et de son Epitaphe.
PDF XXXIIv Des trois freres qui cuiderent estre penduz pour leur Latin.
PDF XXXIIIr Du jeune filz qui fit valloir le beau Latin que son Curé luy auoit monstré.
PDF XXXIIIIv D'un prestre qui ne disoit aultre mot, que Jesus en son Euangile.
PDF XXXVv De maistre Pierre faifeu qui eut des botes qui ne luy cousterent rien, et des Copieux de la fleche en Anjou.
PDF XXXVIIv De maistre Arnaud qui emmena la hacquenée d'un Italien en Lorraine, et la rendit au bout de neuf mois.
PDF XXXIXv Du Conseillier, et de son pallefrenier qui luy rendit sa mule vielle en guise d'une jeune.
PDF XLv Des Copieux de la fleche en Aniou, comment ilz furent trompez par Piquet au moyen d'une lamproye.
PDF XLIIr De l'asne ombrageux, qui auoit peur quand on ostoit le bonnet : Et de Sainct chelault et Croisé qui chausserent les chausses l'un de l'aultre.
PDF XLIIIIr Du Preuost Coquillaire, malade des yeux : auquel les medecins faisoyent accroire qu'il voyoit.
PDF XLVr Des finesses et actes memorables d'un Regnard qui estoit au Bailly du Maine la Juhes.
PDF XLVIIv De maistre Iehan du Pontalais, comment il la bailla bonne au barbier d'estuues qui faisoit le braue.
PDF XLIXv De ma dame la Fourriere, qui logea le gentilhomme au large.
PDF Lv Du gentilhomme qui auoit couru la poste: et du coq qui ne pouuoit chaucher.
PDF LIr Du Curé de Brou, et des bons tours qu'il faisoit en son viuant.
PDF LIIv Du mesme Curé & de sa chambriere: et de sa laisciue qu'il lauoit : et comment il traicta son Euesque et ses cheuaulx, et tout son train.
PDF LIIIIv Du mesme Curé : et de la carpe qu'il achepta pour son disner.
PDF LVr Du mesme Curé qui excommunia tous ceulx qui estoyent dedans un trou.
PDF LVv De Teiran, qui estant sus sa mule, ne paroissoit point par dessus l'arson de la selle.
PDF LVIv Du docteur qui blasmoit les danses: et de la dame qui les soustenoit, et des raisons alleguées d'une part et d'aultre.
PDF LVIIv De l'Escossois, et de sa femme qui estoit un peu trop habile au maniement.
PDF LIXr Du Prestre, et du masson qui se confessoit à luy.
PDF LIXv Du Gentilhomme qui crioit la nuict, apres ses oyseaux : et du charretier qui fouettoit ses cheuaux.
PDF LXIr De la bonne femme vefue qui auoit une requeste à presenter, & la bailla au Conseillier lay pour la rapporter.
PDF LXIv De la jeune fille qui ne vouloit point d'un mary : pour ce qu'il auoit mangé le dos de sa premiere femme.
PDF LXIIv Du bastard d'un grand seigneur qui se laissoit pendre à credit, et qui se faschoit qu'on le sauuast.
PDF LXIIIv Du Sieur de Raschault, qui alloit tirer du vin, et comment le fausset luy eschappa dedans la pinte.
PDF LXVr Du Tailleur qui se desroboit soymesmes, et du drapt gris qu'il rendit à son compere le chaussetier.
PDF LXVIr De l' Abbé de Sainct Abroyse, et de ses moines, et d'aultres rencontres dudict Abbé.
PDF LXVIIr De celuy qui renuoya ledit Abbé auec une responce de nez.
PDF LXVIIIr De Chichouan tabourineur, Qui fit adiourner son beau pere pour se mourir, et de la sentence qu'en donna le Iuge.
PDF LXIXv Du Gascon qui donna à son pere à choisir des oeufz.
PDF LXIXv Du clerc de finances qui laissa cheoir deux detz de son escriptoire deuant le Roy.
PDF LXXr Des deux poinctz pour faire taire une femme.
PDF LXXv La maniere de deuenir riche.
PDF LXXIr D'une dame d'Orleans qui aymoit un escolier, qui faisoit le petit chien à sa porte : et comment le grand chien chassa le petit.
PDF LXXIIr De Vaudrey, et des tours qu'il faisoit.
PDF LXXIIv Du gentilhomme qui couppa l'oreille à un coupeur de bourses.
PDF LXXIIv De la damoiselle de Thoulouse qui ne souppoit plus, et de celuy qui faisoit la diette.
PDF LXXIIIv Du Moine qui respondoit tout par Monossyllabes rymez.
PDF LXXIIIIr De l'escollier legiste, et de l'Apothicaire qui luy apprint la medicine.
PDF LXXVIr De Messire Jehan qui monta sus le mareschal, pensant monter sus sa femme.
PDF LXXVIIv De la sentence que donna le Preuost de Bretaigne, lequel fit pendre Iehan Trubert et son filz.
PDF LXXVIIIv Du jeune garson qui se nomma Thoinette, Pour estre receu à une religion de nonnains : Et comment elle fit saulter les lunettes de l'abbesse qui la visitoit toute nue.
PDF LXXXr Du Regent qui combatit une harangere de petit Pont, à belles iniures.
PDF LXXXIv De l'enfant de Paris, qui fit le fol pour iouir de la jeune vefue, et comment elle se voulant railler de luy : receut une plusgrand honte.
PDF LXXXIIIIr De l'escollier d'Auignon, et de la vieille qui le print à partie.
PDF LXXXIIIIv D'un Iuge d'Aiguesmortes d'un Pasquin, et du Concile de Latran.
PDF LXXXVr Des gendarmes qui estoyent chez la bonne femme de village.
PDF LXXXVv De maistre Berthaud à qui on fit accroire qu'il estoit mort.
PDF LXXXVIv Du poyteuin qui enseigne le chemin aux passans.
PDF LXXXVIIv Du Poyteuin, et du sergent qui mit sa charrette et ses beufz en la main du Roy.
PDF LXXXVIIIr D'un aultre Poyteuin, et de son filz Micha.
PDF LXXXVIIIv Du gentilhomme de Beausse, et de son disner.
PDF LXXXIXr Du prebstre qui mangea à desieuner toute la pitance des religieux de Beau lieu.
PDF XCv De Iehan Doingé, qui tourna son nom, par le commandement de son pere.
PDF XCIv De Ianin, nouuellement marié.
PDF XCIIr Du Legiste qui se voulut exercer à Lire, et de la harangue qu'il fit à sa premiere Lecture.
PDF XCIIv Du bon yurongne Ianicot, et de Iannette sa femme.
PDF XCIIIIv D'un gentilhomme qui mit sa langue en la bouche d'une damoiselle, en la baisant.
PDF XCVv Des coupeurs de bourse, et du Curé qui auoit vendu son blé.
PDF XCVIv Des mesmes coupeurs de bourses, et du Preuost la voulte.
PDF XCVIIv D'eux mesmes encores, et du Coultelier à qui fut couppée la bourse.
PDF XCIXr Du bandoulier Cambaire, et de la responce qu'il fit à la Court de Parlement.
PDF XCIXv De l'honnesteté de Monsieur Salzard.
PDF Cr Des deux escolliers qui emporterent les cizeaux du tailleur.
PDF Cv Du Cordelier qui tenoit l'eau aupres de soy à table, et n'en beuuoit point.
PDF CIr D'une Dame qui faisoit garder les coqs sans congnoissance de poulles.
PDF CIIr De la Pie, et de ses piauz.
PDF CIIv Du singe qu'auoit un Abbé, qu'un Italien entreprint de faire parler.
PDF CIIIIv Du Singe qui beut la medecine.
PDF CVr De l'inuention d'un mary, pour se venger de sa femme.
PDF [234]Sur le discours des Nouuelles Recreations & Joyeux deuis contenus en ce present liure.
PDF [236]Vorsatz
PDF [239]Rückdeckel